Comme vous avez pu le constater les incendies d’éoliennes existent (foudre, défaillances techniques…) et les pompiers sont dans l’impossibilité de les éteindre. Pourtant la nacelle n’était qu’à 85m de haut (éolienne de 2MW).
Les éoliennes récentes font 6MW et la nacelle est à plus de 100m.
400l pour une éolienne de 2MW, donc plus de 1000l pour les nouvelles éoliennes de 6MW.
Huiles hautement toxiques cela va s’en dire.
Cette pollution se diffuse au gré du vent et retombe dans les champs avoisinants, puis dans notre eau.
Pas de système de sécurité, ou de vidange automatique pour éviter que le volume d’huile ne soit consumé entièrement
Sans compter d’éventuelles fuites le long du mât.
Autre pollution diffuse : l’érosion du bord d’attaque des pâles
Aussi, nous avons pu observer de près des pâles avec une usure du bord d’attaque tout à fait notable.
Cette usure en partie liée à une érosion naturelle (pluie/grêle) est aussi liée aux impacts avec les oiseaux et/ou chauves-souris.
3M leader dans le domaine à inventé un scotch réparateur hautement résistant mais manifestement pas mis en œuvre ici.
Imaginez le volume de micro particules extrêmement toxiques qui se répandent.
Pour rappel une pâle est constituée de matériaux très polluants (PVC, PET, fibre de verre et de carbone, résines de polyester et époxy…).
Photos prises par nos soins :
Si l’on multiplie le cas de figure de la pâle en photo, cela représente des quantité non négligeable de pollution.
Une étude parle de 60 kilos de micro plastique par an et par éolienne. Aucune obligation de vérifier cet aspect, dans les études d’impact environnementales, le mot “érosion” n’apparait pas une fois dans les dossiers…
Soit sur les 9000 éoliennes du parc Français, environ 175 tonnes par an.
Le parc en question :
Des analyses de sols devraient être diligentées par les services de l’état, tant au niveau micro et nano particules, qu’au niveau molécules toxiques.
On se renseignera aussi sur les pollutions “externalisées” (Balsa, tête de rotor…).
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